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A Prague, en marchant dans les rues, si vous levez les yeux, vous verrez que vous êtes observés : je ne parle pas de caméras de surveillance (il y en a surement) mais des yeux de mille visages de pierre appartenant à des masques ornant les façades Art nouveau.
Retrouvez des dizaines de visages de pierre de plusieurs pays d'Europe dans l'onglet "Galeries" tout en haut de la page, au dessus du bandeau
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Encore une collection ! J'aime le côté familier des boîtes en métal, simples objets du quotidien d'antan mais dont la fantaisie et la créativité, voire l'esthétique ne sont pas exclues. Ma collection se construit uniquement au coup de coeur, guidée peut-être par le principe du "prix raisonnable" et bon état : pas trop de rouille ! Cet été j'ai pu trouver la fameuse boite de Cacao Droste avec la religieuse en cornette ! Petite astuce pour redonner un coup d'éclat aux boîtes de métal : passer un tampon légèrement imbibé d'huile. Surtout jamais d'eau, même pour décrasser : ça fait rouiller
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Encore du polar ! Après la trilogie marseillaise d'Izzo savourée sans réserve et sans modération, je replonge avec délice dans l'univers parisien et vraiment à part de la grande Fred Vargas (dans les bois éternels) Adamsberg, l'homme aux semelles de vent, toujours aussi irrésistible.
Au fait, qu'avez-vous pensé de l'avatar télévisuel d'Adamsberg ? votre commentaire
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Daho sera toujours Daho. Comme les grands crus, Etienne se bonifie avec l'âge. Cette invitation tient ses promesses mais ne procure pas vraiment de surprise.
(L'Invitation, Etienne Daho, Capitol Music, 2007) votre commentaire
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Et voici un nouveau chantier ! Encore un rêve de longtemps que je vais réaliser : fabriquer moi-même une copie d'épicerie jouet ! En m'inspirant de celles que j'ai pu voir et de catalogues anciens (voir photos) j'ai choisi le modèle le plus simple et non l"épicerie parisienne" puis je garnirai avec des produits anciens et copies que je fabriquerai (j'ai déjà des idées !). Matériel : scies à bois, cutter, scalpel, scie à chantourner, colle à bois, colle blanche liquide, serre-joints, perles en bois, petits barreaux en bois tournés, balsa, lettres à décalquer type "Letraset" 7 mm, peinture acrylique titane écru et bleu clair, papier "corindon" fin (100, 120) pour poncer, contreplaqué de 5 mm d'épaisseur pour le fond, isorel (3 mm) trouvé dans des cageots pour les cloisons et étagères, carton rigide de 3 mm d'épaisseur pour les côtés des tiroirs, j'évite le bois de cageot qui gondole, mais le contreplaqué bouge aussi ! J'ai été obligée de coller deux tasseaux sur l'arrière car le contreplaqué s'est déformé. Il faut que le fond soit droit avant d'envisager de coller dessus. Quelques rectifications dans les dimensions m'ont obligé à refaire des pièces. Le fronton à volutes a été difficile à réaliser, c'était la première fois que je découpais en courbe à la scie. C'est pourquoi ce n'est pas parfaitement symétrique, mais tant pis ! II faut être très précis pour le collage des tiroirs, sinon ils seront de guingois ! Maintenant que l'expérience touche à sa fin, je peux dire que je n'imaginais pas que ce serait aussi difficile ! L'assemblage et le collage de la partie basse sont loin d'être une partie de plaisir ! J'ai dû m'y prendre en plusieurs fois, coller, décoller et recoller... Et voilà ! 7 septembre 2008 l'épicerie est TERMINEE
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